Série L’Adultère (Partie 27). « Vanessa » : Son Mari La Trompe, Comment Va-T-Elle Réagir ? Épisode 1/2

Je m’appelle Vanessa, j’ai 37 ans mariée à Grégory depuis quatorze ans, avec lequel nous avons eu deux s : Un garçon de 14 ans et une fille de 12 ? ans. Mis à part mon premier petit copain, je n’avais fait l’amour qu’avec mon mari. Nous avons passé plus d’une quinzaine d’années à nous aimer passionnément, nous sommes pour notre entourage le couple idéal. Quand nous nous sommes rencontrés à la Fac, nous avions 20 ans et nous nous sommes mariés trois ans plus tard après la naissance de notre fils.

Notre fille était venue compléter notre petite famille un an et demi plus tard. Pendant les premières années, nous avons vécu en parfait osmose, installés dans un amour qui nous semblait indestructible. Avec le temps, les s et tout ce que cela engendre au quotidien, nous sommes tombés dans un confort sentimental pour finir dans la routine avec la certitude que rien ne viendrait interrompre notre union.

Au départ, en regardant tous ces couples qui se déchiraient, je n’aurais jamais imaginé que le nôtre puisse durer aussi longtemps, surtout que je n’avais connu qu’un seul homme dans ma vie. J’avais regretté parfois plus tard de ne pas avoir eu d’autres expériences amoureuses. C’est tellement agréable de se sentir séduisante qu’il m’était arrivé d’être très attirée par un autre homme, néanmoins je n’ai jamais sauté le pas.

Pourtant, en ce moment, je traverse une période très difficile à vivre et je ne peux pas dire aujourd’hui, si notre couple va perdurer. En effet, je venais d’apprendre avec certitude que Grégory me trompait depuis deux ans avec une femme mariée. Lorsque je l’ai appris, tout s’écroula autour de moi et les fondations sur lesquelles notre amour était assise, s’effritaient. Il avait une adresse mail secrète dont je ne connaissais pas l’existence, simplement il avait fait une grosse erreur.

En effet, il y a quinze jours, en voulant lire mes mails, j’ai remarqué que mon mari avait oublié de fermée sa boite mail cachée.

En lisant ses derniers messages, je me suis rendue compte qu’il était en contact avec Agnès mon amie d’enfance. Si ces derniers mails n’étaient pas très explicites, en regardant les précédents, je m’aperçus que certains étaient très intimes. D’après l’historique, leur correspondance datait depuis deux ans. J’avais pris mon temps pour lire le maximum de messages. Si au début, ceux-ci n’étaient que blagues avec quelques sous-entendus, après quelques jours, il n’y avait plus de doute à avoir, en lisant les commentaires, ces deux amis couchaient ensemble. J’étais stupéfaite mais je me refusais d’y croire.

Hormis les rendez-vous galants qui se déroulaient en principe les mercredis soir lors des matchs de foot quand Jérôme son mari était en déplacement et que Grégory me disait qu’il allait les regarder chez son meilleur ami Mathieu. J’avais remarqué que les annotations étaient sans équivoque. À chaque message envoyé ou reçu, les « Tu me manques » ; « J’ai envie de toi » ; « Je t’aime », il y en avait d’autre beaucoup plus hard. « Je veux ta grosse queue » ou « Mon cul est en feu, viens l’éteindre » ; « j’ai besoin de ta bite ». Au niveau des réponses de Grégory, ce n’était pas mieux, c’était sensiblement identique : « Tu es trop bonne » ; « Moi aussi je t’aime » ; « Je suis impatient de te voir » mais également : « Je vais te défoncer le cul » ou « Tu n’es qu’une salope » ou encore « Je bande en pensant à toi » ; « Je rêve de te baiser la bouche. » Jusqu’à cette photo où l’on voyait Agnès s’enfilant le gland d’un sextoy dans les fesses. En demandant à Grégory : « Quand viens-tu le remplacer ? »

Ce n’était plus des blagues cochonnes, j’étais bouleversée et très en colère, je ne pouvais plus avoir de doute. Grégory était bel et bien l’amant d’Agnès, mais que faire ? Deux solutions s’offraient à moi : Je lui faisais part de ma trouvaille et je me fâchais car il était capable de nier tout en bloc et trouver une excuse bidon et nous risquerions de détruire à jamais ce que nous avions construit, avec toutes les conséquences qui allaient avec une séparation.
Pour autant, quitter Grégory est inconcevable pour le moment, je l’aimais plus que tout.

J’en étais à me culpabiliser car le sexe pour moi, n’était pas une priorité, mon mari avait dû en souffrir. Il avait toujours essayé de me dévergonder sur ce sujet mais je n’avais jamais osé me laisser aller à d’autres pratiques et nous continuions à faire l’amour simplement sans aucune imagination. Je devais donc fermer les yeux et reprendre ma vie en main en reconquérant mon mari. Néanmoins, je ne savais pas comment faire, je recherchais un moyen pour lui mettre la pression afin qu’il stoppe immédiatement cette relation. Le chantage ou la vengeance pouvaient être une des solutions.

D’autre part, en cachant la vérité à Grégory, celui-ci ne changerait pas ses mots de passe, je pouvais continuer à surveiller leurs correspondances intimes et cela me permettait d’être au courant de tous leurs rendez-vous. Ce fut ainsi que je venais d’apprendre samedi, par le dernier mail que les deux amants se retrouvaient mercredi soir à 20 heures. Dans le même temps, Grégory m’avertit qu’il allait regarder le match du PSG à la télévision chez Mathieu son meilleur pote. Cela me minait depuis plus de quinze jours, étant très proche d’Agnès, nous avions une confiance aveugle entre nous. Je savais que son couple que je croyais tout à fait stable, ne l’était pas en fait.

Jérôme lui avait avoué qu’il menait une double vie, en ayant une maitresse en semaine et Agnès était l’épouse et la mère de leurs trois s les week-end et jours fériés. Pour sa part, elle avait choisi de prendre un amant qu’elle voyait une fois par semaine lorsque son mari était en déplacement. Mais leur relation n’était que physique soi-disant. Elle affectionnait cet homme qui lui apportait ses besoins sexuels qui équilibrait sa vie sentimentale. Malheureusement, elle ne m’avait pas dit à cette époque que cet amant était mon mari Grégory, ça me pesait sur l’estomac, il fallait que je me confie à quelqu’un.


Il était hors de question que j’en parle à ma mère, la seule personne avec laquelle je pouvais parler librement était Mathieu le meilleur ami de Grégory. Je le connaissais depuis quinze ans, j’étais très à l’aise avec lui. Étant l’excuse de mon mari lorsque ce dernier me trompait, il m’était assez difficile de lui parler de l’adultère de Grégory. D’autant plus que cet homme avait bien failli me séduire, il y a quelques années en arrière. Il m’avait dit à l’époque que je lui plaisais et qu’il quitterait sa femme sur le champ si je le suivais.

Aujourd’hui je sais qu’il a encore pour moi des sentiments mais il était suffisamment intelligent pour ne pas essayer de briser notre ménage. Néanmoins, je devais m’entretenir avec lui, il était divorcé depuis trois ans et depuis, je ne lui connaissais aucune amie régulière. J’étais donc allée chez lui et je lui avais annoncé de but en blanc que j’avais des doutes sur la fidélité de Grégory. Sa première réaction, fut de protéger son ami, il me jura le contraire. Lorsque je lui dis qu’il prétextait être avec lui pour les matchs de foot alors qu’il était avec sa maitresse, son visage avait changé de couleur et se ferma comme une huitre en me disant :
— Ne compte pas sur moi, c’est votre problème Vanessa, ne me mêle pas à vos histoires de couple s’il te plait. Je vous aime tous les deux, je ne peux pas vous trahir
— Si je lui fais croire que tu es mon amant ? Peut-être me reviendra-t-il, qu’en penses-tu ?
— Ma chérie, ne me demande pas ça.

La solution était sans doute Mathieu, il s’était rendu coupable de complicité et s’en voulait tant, qu’il me dévoila comment il prêtait sa chambre d’amis à Grégory et Agnès les soirs de match. Je savais que je lui plaisais, j’allais donc faire semblant de vouloir coucher avec lui, ceci pouvait être un bon moyen de rendre jaloux Grégory afin qu’il me revienne. J’avais acheté des sous-vêtements, cette nuisette transparente, soutien-gorge push up et string très échancré, le tout en dentelle brune très chic et très sexy, devait me rendre irrésistible devant mon futur amant.


Lorsque j’étais revenue de mon shopping, j’avais fait en sorte que Grégory sache ce que contenait ce paquet. Cela l’avait rendu curieux, comme je l’avais prévu, il m’avait surveillé et lorsqu’il rentra dans la chambre, il me vit devant la glace dans cette petite tenue :
— Vanessa ! Pour qui tu portes ça ?
— Pour toi mon amour, ça te plait ?
— Ne te moque pas de moi s’il te plait.
— Tu es jaloux mon chéri ? Pourtant j’ai l’impression que tu me délaisses ces derniers temps.

J’avais touché la corde sensible, il sembla perturbé se demandant si je savais quelque chose. Le doute était là, je venais de marquer des points. Il vint vers moi et m’enlaça tendrement. La jalousie et l’humiliation d’être trompée, m’avaient donné envie de rattr le temps perdu, nous avions fait l'amour, intensément. Serais-je obligée d’aller jusqu’à l’adultère, la question restait en suspens.

Le jour J était arrivé, il n’y avait toujours pas de mail d’annulation de rendez-vous et Mathieu était au courant de ma venue à l’improviste. Le mercredi soir, au moment où Grégory s’apprêta à quitter la maison, je lui dis que j’en profitais pour sortir au cinéma avec une collègue de travail. J’ai vu dans son regard qu’il avait marqué le coup mais il s’était ef de ne pas me poser de question. J’ai vraiment ressenti une pointe de jalousie, il devait croire que moi aussi je le trompais probablement. J’avais attendu la fin du match et que mes s se soient endormis pour me rendre en voiture chez Mathieu.

Lorsque j’avais sonné à la porte de Mathieu, je portais une petite robe que j’avais enfilé sur mes jolis sous-vêtements. Lorsque je l’entendis dire « entrez », je me précipitai au salon où mon ami m’attendait, il était en short et en tee-shirt de nuit. Il me fit un signe de la main montrant la chambre où se trouvaient Grégory et Agnès. Il me fit m’installer sur le canapé et me servit un verre avant de me dire :
— Tu devrais enlever ta robe, cela paraitra beaucoup plus plausible.

J’étais gênée mais je savais qu’il avait raison, lorsque Grégory me verrait ainsi, il n’aurait aucun doute sur mon infidélité :
— Tu es si belle ainsi Vanessa, viens installe-toi à mes côtés.
— Tu sais Mathieu, il va-t’en vouloir.
— Non ! Il va se trouver tout con, plutôt.

J’avais franchi le pas, nous attendions que Grégory et Agnès sortent de la chambre, j’étais affalée dans les bras de Mathieu depuis déjà plusieurs minutes, j’avais une drôle de sensation. J’étais prise entre la honte de ce que j’étais venue faire et le désir que me procurait le contact de la peau, l’odeur puis les mains quelques peu baladeuses de Mathieu me procuraient un certain plaisir, il en profitait bien le salop. Dans d’autres circonstances, je pense que j’aurais cédé et me serait retrouvée dans sa chambre, j’en avais vraiment envie, peut-être par vengeance mais pas que. Lorsque la porte de la chambre d’amis s’était ouverte, il baissa sa tête vers moi et posa ses lèvres sur les miennes comme il était prévu. Mais lorsqu’il força le passage avec sa langue et m’embrassa, je n’ai pu lui refuser ce baiser sensuel.

Lorsque Grégory me surpris avachie au salon dans les bras de Mathieu, dans ce déshabillé ultra sexy, en train d’embrasser son meilleur ami, comme nous l’avions pensé, il n’eut aucun doute sur notre relation adultère. Néanmoins, sa réaction ne fut pas celle que nous espérions, il prit Agnès par la main et se dirigea vers la sortie en disant :
— Tu peux rester ici Vanessa, je dors cette nuit chez Agnès. Maintenant tu le sais !

Il n’y avait aucun doute, Grégory était vexé mais sa réaction démontrait qu’il avait fait son choix, je m’en voulais terriblement et ne savait plus comment faire. Je devais aller le chercher avant qu’il parte chez mon amie. Je devais le convaincre de rentrer avec moi. Je me précipitai à l’extérieur de l’appartement et les rejoignis au bout du couloir :
— C’est une mise en scène mon chéri, je te pardonne mais reviens, s’il te plait. Ne m’abandonne pas.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrirent et le couple s’y engouffra, me laissant ainsi toute conne quand il me dit :
— J’espère que Mathieu prend son pied avec toi. Je suis presqu’à le plaindre.
— Que comptes-tu faire Grégory ? Rester avec moi ou continuer à faire tes conneries avec Agnès ? Lui demandais-je.

Bien entendu, il n’avait pas répondu et cette fois, ce fut à mon tour d’être vexée, il venait de me fendre le cœur, j’étais en pleur lorsque Mathieu vint me chercher. Il était très intentionné et nous nous sommes retrouvés enlacés comme cinq minutes plus tôt, il ne disait rien mais ses caresses dans mes cheveux et sur mon dos m’apaisaient. Puis il en profita sans que je m’en aperçoive au départ, ses mains avaient changé de place peu à peu, il n’hésitait plus à me peloter un sein et une cuisse. Ses mains étaient douces et me faisaient du bien.

Mon désir pour lui recommençait à m’émoustillé. Nous nous sommes embrassés sensuellement et bientôt ce baiser fut soudain fougueux, ses mains avaient pris possession de mon intimité sans ménagement et je ressentais dans mes entrailles une chaleur douce et humide. Avec ses mains parcourant mon corps et sa langue dans ma bouche, ces préliminaires m’avaient semblé durer une éternité, j’étais comme sur un nuage, je n’avais jamais ressenti cela auparavant. Je ne fus pas surprise, lorsqu’il enleva son tee-shirt et son short puis, je l’ai laissé me retirer mon string, j’étais totalement à sa merci.

C’était une suite logique pour moi, je ne pensais à rien d’autre que de lui apporter du plaisir pour me prouver que mon mari se trompait. Ce fut avec une extrême rudesse, sans érotisme, que Mathieu m’avait pénétrée, ma chatte était bien plus trempée qu’habituellement. Il me léchait la bouche à chaque aller et retour puissants, j’étais sous sa coupe, je m’offrais à lui, en soulevant mon bassin afin qu’il enfonce son pénis le plus loin possible dans mon vagin qui ruisselait de plaisir. Puis, il me demanda d’un ton assez direct, de me mettre à genoux sur le canapé et pencher mon corps en avant sur le dossier.

Sans tendresse et avec force, cette relation sexuelle devenait encore beaucoup plus soutenue presque sauvage. Ses coups de boutoirs et longs va et viens étaient accompagnés de paroles très vulgaires, pour mon plus grand plaisir. Je jouis comme rarement, en atteignant un orgasme fulgurant juste avant qu’il jouisse à son tour en se couchant de tout son poids sur moi. Quelques minutes après, je me préparais à rentrer à la maison, Mathieu m’avait déjà fait des éloges sur ma performance et j’avais aussitôt retourné le compliment en répondant qu’il était un merveilleux amant. Lorsqu’il vint m’embrasser en me disant :
— Tu as été sublime Vanessa, je n’aurais jamais imaginé cela.
— Pourquoi dis-tu cela ? lui répondis-je.
— Grégory m’a toujours dit que tu ne valais rien au plumard.

J’étais déçue, mais je devais rentrer retrouver mon chez-moi. Le lendemain, lorsque je préparais les s seule, sans Grégory pour m’aider, j’avais compris que je venais de faire une énorme erreur de l’avoir trompé. Toute la journée j’envoyai des SMS à mon mari, l’implorant de revenir à la maison. Néanmoins de l’autre côté, j’en recevais de Mathieu qui voulait absolument me revoir, me disant que mon mariage était foutu. J’avais très envie de le bannir de ma vie pour récupérer mon chéri. Mais en même temps, il m’avait tellement apporté de plaisir que je ne voulais pas interrompre notre relation. Je ne savais plus comment faire.

Quelle joie pour moi lorsque Grégory était revenu le lendemain soir après son travail. Nous avions profité de la soirée pour discuter. Je lui avais expliqué comment j’avais pris connaissance de sa correspondance secrète et de son infidélité avec notre amie Agnès et de mes intentions réelles afin qu’il retrouve le lit conjugal. Bien entendu, il n’avait pas essayé de nier l’évidence mais il eut des difficultés à me croire, quand je lui disais qu’il ne s’était rien passé avec Mathieu. Me voyant lui pardonner son adultère, il en avait tiré tous les avantages, il s’était fâché et pendant le restant de la semaine, nous ne nous parlions presque plus. Pour moi, l’important était qu’il soit revenu à la maison, je prendrais le temps qu’il faudra afin de le faire changer d’avis.

Je continuerai à vous conter la suite dans un prochain récit samedi 27 février.
Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous.
Si comme Vanessa, vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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